With his state of the art quintet, Léon Phal revisits soul and electronica in an enthusiastic jam, bringing a french touch to his brand of jazz.
Saxophonist Léon Phal keeps on rising and joins the Heavenly Sweetness stable! After two albums that established him as a key artist on the new French jazz scene, and a reputation that now extends beyond the borders of Europe, the Franco-Swiss musician is on the move with his loyal and well-honed quintet.
As a graduate of Lausanne’s Haute École de Musique, he’s a key artist within the much spoken about French new jazz scene. With a notoriety that goes beyond the borders of Europe, this Franco-Swiss musician paves his own path in his own way, alongside his faithful quintet of; Arthur Alard (Drums), Rémi Bouyssière (Double Bass), Gauthier Toux (Keyboards) and Zacharie Ksyk (Trumpet).
Over its 10 tracks ‘Stress Killer‘s perhaps the most major and remarkable point is that no drum machines or sampler were used in its creation. Despite its sonic shelving so close to the nightclub sounds, it is made using traditional jazz instrumentation.
A record that has really captured all energies, be them eyes down on dark nightclub dance floors or squeezed into sweaty basement jazz clubs. The sound of Léon’s album may sometimes resemble that of machines, but it always retains its humanity.
Le saxophoniste Léon Phal poursuit son ascension et rejoint l’écurie Heavenly Sweetness ! Après deux albums qui l’ont propulsé comme un artiste incontournable de la nouvelle scène jazz française et une notoriété qui dépasse désormais les frontières de l’Europe, le Franco-Suisse trace sa route avec son quintet fidèle et affuté.
Les lauriers, le saxophoniste Léon Phal refuse de s’y reposer.
Brillamment passé par le Conservatoire et la Haute Ecole de Musique, vainqueur des tremplins Nancy Jazz Pulsations et Jazz à Vienne 2019 ; le trentenaire promu représentant de la nouvelle et bouillante scène jazz n’a qu’une envie devenue obsession : aller toujours plus loin. Pousser la limite.
Aux partitions précisément noircies, Léon Phal a donc préféré l’inspiration du moment, celle qui surgit lorsqu’à la manière d’un producteur d’electro ou de hip-hop, il s’installe seul dans son studio, face à ses machines. Chercher. Synthétiser les rythmes, dessiner les arrangements. Ressentir le groove qui se met en place et s’installe comme une évidence. Séquencer, looper. Chercher encore. La bonne sonorité, le bon grain à atteindre.
Dans la batterie d’Arthur Alard, la contrebasse de Rémi Bouyssière, les claviers de Gauthier Toux et la trompette de Zacharie Ksyk, les zéros et les uns créés nés dans les circuits imprimés prennent alors vie organique. A la fois animé et porté par l’envie de faire danser. En approchant le jazz comme une musique de club, faire d’une mélodie presque enfantine comme de quelques notes de claviers, les premières étincelles qui allumeront les rythmiques.
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