OUT JULY 2nd
Née à Paris mais ayant grandit en Guadeloupe, Celia commence la musique par le «Ka» (percussion traditionnelle antillaise) à l’école du grand George Troupé, puis se consacre ensuite à la flûte. Elle fera sa première scène à 12 ans pour ne plus la quitter.
De retour à Paris, elle s’immerge dans la culture Hip Hop, notamment la danse qui deviendra son métier avant qu’elle ne décide de revenir à la musique et sorte deux EP mélant musique éléctronique et musique antillaise traditionnelle (Gwo ka).
C’est du gwoka que viennent énergie et inspirations. De ces mains qui, lorsqu’elles ne sont pas un poing levé, martèlent les tambours, fières de leurs racines et de leur identité guadeloupéenne.
C’est de là que vient Celia Wa, de tout cela dont elle a hérité en partageant son enfance entre les Antilles et l’hexagone.
Les premières années de sa vie à découvrir l’âme musicale de l’île, à laisser les sept rythmes gwoka s’infiltrer en elle jusqu’à en devenir une partie intégrante. Les suivantes, à découvrir reggae, salsa, jazz et l’omniprésent hip hop. Des musiques dont la source originelle jaillissait tout proche d’elle mais auxquelles elle ne s’est ouverte qu’après s’en être éloignée de milliers de kilomètres.
Après deux EP auto-produits, Wastral est la somme de ces d’inspirations et influences.
Nés dans l’acoustique, c’est sous la production moderne et futuriste de Victor Vagh (producteur de Flavia Coelho) que les sept titres se sont révélés puis sublimés. Dissipé dans les arrangements vaporeux, adouci sous l’effet des nappes synthétiques, l’organique s’est méticuleusement recouvert d’un vernis electro troublé par les échos et les reverbs du dub. La flûte planante et virevoltante de Celia Wa effleurant ou attisant le groove, ses textes ravivant la mémoire de son île.
En créole ou en anglais, ils la racontent avec un présent qui n’oublie pas le passé. Un passé aux bruits de luttes, de chaînes qui s’entrechoquent et de fouets qui claquent, les traces ont disparu des corps mais restent profondément ancrées dans les familles et l’Histoire.
Nouvelle signature féminine Heavenly Sweetness, Celia Wa dessine avec Wastral la carte d’un voyage stellaire avant-gardiste dans lequel l’étoile musicale de la Guadeloupe brille fort.
Born in Paris but having grown up in Guadeloupe, Celia started playing music with the “Ka” (traditional West Indian percussion) at the great George Troupé’s school, and then devoted herself to the flute. She made her first stage appearance at the age of 12 and never left it.
Back in Paris, she immersed herself in the Hip Hop culture, especially dance, which became her profession before she decided to return to music and released two EPs mixing electronic music and traditional West Indian music (Gwo ka).
Energy and inspiration come from the Gwoka. From these hands which, when they are not a raised fist, pound the drums, proud of their roots and of their Guadeloupean identity.
This is where Celia Wa comes from, from all that she inherited by spending her childhood between the West Indies and France.
The first years of her life were spent discovering the musical soul of the island, letting the seven gwoka rhythms seep into her until they became an integral part of her. The following years were spent discovering reggae, salsa, jazz and the omnipresent hip hop. Music whose original source was close to her, but to which she only opened up after having travelled thousands of kilometres.
After two self-produced EPs, Wastral is the sum of these inspirations and influences.
Born in the acoustic, it is under the modern and futuristic production of Victor Vagh (producer of Flavia Coehlo) that the seven tracks were revealed and then sublimated. Dissipated in the vaporous arrangements, softened under the effect of the synthetic layers, the organic was meticulously covered with an electro varnish disturbed by the echoes and reverbs of the dub. Celia Wa’s soaring, twirling flute grazes or stirring the groove, her lyrics reviving the memory of her island.
In Creole or in English, they tell the story in the present tense without forgetting the past. A past full of the sounds of struggles, of clashing chains and cracking whips, marks that have disappeared from bodies but remain deeply rooted in families and history.
New feminine signature at Heavenly Sweetness, Celia Wa draws with Wastral the map of an avant-garde stellar journey in which the musical star of Guadeloupe shines bright.
OUT JULY 2nd