Dans un temps où les musiciens et compositeurs de jazz sortent le plus souvent de conservatoires et écoles et suivent une route stylistique normée et exclusive, il est fascinant de rencontrer Robert Aaron, l’un des derniers exemples de ces multi-instrumentistes formés à ‘l’école américaine’ de la rue et des bars …
Livré à lui-même dès l’âge de 14 ans, Robert quitte rapidement son Montréal natal et arrive à New York en 1976 où il vit de sa musique dans les rues de Brooklyn. Il intègre rapidement la scène No-Wave new yorkaise et fait partie de la formation originale et mythique des Contorsions de James Chance avec lequel il se produit encore aujourd’hui. Repéré par David Bowie, il enregistre avec lui l’album Let’s Dance. Voilà pour un début de carrière (…)
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At a time when most jazz musicians and composers graduate from music schools and academies to then follow a standard, exclusive stylistic career, it is fascinating to meet Robert Aaron, one of the last of these multi-instrumentalists to learn his trade at the ‘American school’, i.e. on the street and in bars.
Forced to fend for himself from the age of 14, Robert soon left his hometown of Montreal and arrived in New York in 1976 where he made a living by busking on the streets of Brooklyn. He quickly became a regular on the New York No Wave scene and was part of the original line-up of James Chance and the Contortions. He still performs with them today. He was spotted by David Bowie and recorded the ‘Let’s Dance’ album with him. Not a bad start to his career (…)
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