Listen & Download / Order LP & CD
Dix ans étaient passés depuis Bad Bad Things, c’était là l’occasion de fêter cette décennie en réanimant son état d’esprit. Celui qui brasse les collaborations, les ambiances et les styles. Exilé au vert, en autarcie musicale depuis plusieurs albums, Blundetto s’est donc remis au rythme de la vie citadine et des studios. A bouleversé son mode de fonctionnement, ouvert son répertoire et invité proches et amis sur ces nouveaux titres qu’il avait pensés pour eux.
Le cercle des intimes déjà présents sur Bad Bad Things (Blundetto, Hindi Zahra, General Electric, Chico Mann) s’est élargi aux complices réguliers (Biga Ranx) pour s’étendre vers des artistes avec lesquels Blundetto se sentait en évidente connexion (Crime Apple, Leonardo Marques). Guidés par cette feuille de route écrite par Blundetto, tous se sont succédés pour poser leurs couleurs et diffuser leur âme musicale le temps de quelques minutes. Emprunter la direction du Brésil, de l’Afrique ou de l’Amérique Latine, s’étourdir dans les fumées Jamaïcaines, s’ébrécher sur les angles saillants du hip hop.
S’engouffrer dans les nouveaux accès ouverts par les arrangements de Clément Petit, désormais plus sophistiqués que ceux sur lesquels Blundetto à l’habitude d’évoluer, de ceux capables d’apporter une dimension orchestrale faites de cordes et de cuivres. Ouverture directe sur les émotions, générateur spontané d’images pour accompagner la bande son par le sceau de producteur de Blackjoy.
Quelque soit l’orientation, chacun des invités devient une pièce à la fois unique et essentielle d’un ensemble dont Blundetto reste le fil rouge. A la fois le ciment et le vernis final d’une mosaïque musicale nommée Good Good Things.
Ten years had passed since Bad Bad Things; it was the occasion to celebrate this decade by reviving its state of mind. The one who mixes collaborations, atmospheres, and styles. Exiled to the green, in musical autarky from several albums, Blundetto has therefore returned to the rhythm of city life and studios. He has changed his way of operating, opened his repertoire, and invited friends to new titles that he had written for them.
The circle of intimates already present on Bad Bad Things (Hindi Zahra, General Electric, Chico Mann) has widened to include regular accomplices (Biga Ranx) and to extend to artists with whom Blundetto felt an obvious connection (Crime Apple, Leonardo Marques). Guided by this roadmap written by Blundetto, all succeeded in painting with their colors and spreading their musical soul in the project, either taking the rhythmic direction of Brazil, Africa, or Latin America, getting dizzy in Jamaican fumes or chopping at the salient angles of hip hop.
Dive into the new openings of Clément Petit’s arrangements, now more sophisticated than those on which Blundetto evolved, and now capable of bringing an orchestral dimension made of strings and brass, creating a direct opening on the emotions, an automatic generator of images to accompany the soundtrack by the producer Blackjoy.
Whatever the orientation, each guest becomes a unique and essential part while Blundetto remains the common thread, the cement and the final varnish of a musical mosaic called Good Good Things.